samedi 17 décembre 2011

Israël - David Grossman




Né à Jérusalem en 1954 David Grossman est l'auteur réputé de nombreux romans abondamment primés. Il est aussi l'essayiste engagé de trois essais qui ont ébranlé l'opinion israélienne et internationale, notamment Le Vent jaune, qui a précédé la première Intifada. En 2010, il a reçu en Allemagne le Prix de la Paix des éditeurs et des libraires allemands. Il est Officier de l'Ordre des Arts et des lettres.

Son père est originaire de Galicie Grossman a étudié la philosophie et le théâtre à l'Université hébraïque de Jérusalem. Il a travaillé comme correspondant à Kol Israel, la radio nationale d'Israël. Il a été l'un des présentateurs de Cat in a Sack, un programme pour enfants qui fut diffusé de 1970 à 1984. Son livre Duel fut la première pièce de théâtre radio-diffusée. Avec Dani Eldar, il a présenté la populaire série radio au ton absurde Stutz (terme yiddish pour : « cela peut arriver »).

Il s'est rendu célèbre par sa première œuvre, Le vent jaune (הזמן הצהוב), où il décrivait les souffrances imposées aux Palestiniens par l'occupation de l'armée israélienne. Cet ouvrage lui vaudra l'accusation de trahison par le premier ministre de l'époque, Yitzhak Shamir. Ses livres ont été traduits dans de nombreuses langues.
 En 1984, il remporta le prix du Premier Ministre pour une œuvre créative et était considéré comme candidat au Prix Nobel de littérature
Grossman vit à Mevasseret Zion près de Jérusalem. Il est marié et père de 3 enfants, Jonathan, 28 ans, Ruth, 18 ans et Uri, qui a été tué au combat le 12 août 2006 au Liban, peu de temps avant son 21e annniversaire.
Proche du "Camp de la paix", il a, comme la plupart des Israéliens, soutenu l'action d'Israël dans le conflit israélo-libanais de l'été 2006, mais estimait inutile l'extension de l'offensive menée par Tsahal. Le 10 août 2006, quelques jours avant la mort de son fils, lui et les écrivains Amos Oz et A.B. Yehoshua avaient lancé, d'abord dans le quotidien Haaretz, puis lors d'une conférence de presse, un appel au gouvernement israélien pour qu'il accepte un cessez-le-feu comme base pour aboutir à une solution négociée, décrivant la poursuite des actions militaires comme "dangereuse et contreproductive" et s'inquiétant du sort du gouvernement libanais.
Le 2 juin 2010, au lendemain de l'arraisonnement par la marine israélienne de bateaux pro-palestiniens au large de Gaza, il déclare : "Aucune explication ne peut justifier ni blanchir ce crime. Aucun prétexte ne peut servir à excuser ou à expliquer la stupidité des actes du gouvernement et de l¹armée. Israël n¹a pas envoyé ses soldats pour tuer des civils de sang-froid. De fait, c¹était même la dernière chose qu¹il voulait. Et pourtant. Une petite organisation turque, fanatique du point de vue religieux et radicalement hostile à Israël, a recruté pour sa cause plusieurs centaines de chercheurs de paix et de justice, et a fait en sorte de prendre Israël au piège, précisément parce qu¹elle savait comment Israël réagirait, comment Israël était programmé pour réagir comme il l¹a fait.(...) Il est clair que ce jugement n¹implique aucun accord avec les motivations, ouvertes ou cachées, et souvent malveillantes, de certains participants à la flottille de Gaza. Car tous ne sont pas des humanitaires épris de paix, et les déclarations de certains d¹entre eux sur la destruction d¹Israël sont criminelles. Mais cela ne compte pas, tout simplement, car autant que nous le sachions, ces opinions ne méritent pas la peine de mort."-wikipédia

Ora, une femme séparée depuis peu d’Ilan, son mari, quitte son foyer de Jérusalem et fuit la nouvelle inéluctable que lui dicte son instinct maternel : la mort de son second fils, Ofer, qui, sur le point de terminer son service militaire, s’est porté volontaire pour « une opération d'envergure » de 28 jours dans une ville palestinienne, nouvelle que lui apporteraient l’officier et les soldats affectés à cette terrible tâche. Mais s’il faut une personne pour délivrer un message, il en faut une pour le recevoir, pense Ora. 
Tant que les messagers de la mort ne la trouvent pas, son fils sera sauf. Aussi décide-telle, sans aucune logique, pour conjurer le sort, de s’absenter durant ces 28 jours en se coupant de tout moyen de communication qui pourrait lui apporter la terrible nouvelle. Ayant prévu une randonnée à travers le pays avec Ofer, elle part malgré tout. 
Au passage, elle arrache à sa torpeur Avram, son amour de jeunesse (le père d’Ofer ?) et l’emmène avec elle sur les routes de Galilée pour lui raconter leur fils. Elle espère maintenir en vie son enfant par la trame de mots qui dessinent sa vie depuis son premier souffle, et lui éviter ainsi le dernier. 
Le périple ici est l’occasion d’évoquer le passé : à mesure qu'Ora et Avram arpentent le pays à la beauté étonnante, se reconstitue le fil de la mémoire et des secrets qui enserrent les personnages. 
Ora, Ilan et Avram s’étaient liés, adolescents, pendant la guerre des Six Jours, dans un hôpital où ils étaient tous trois à l'isolement, alors que les combats faisaient rage à l’extérieur. C’est là que se sont noués les destins de chacun. Le stratagème de la mère réussira-t-il à préserver la vie du fils ? Quoi qu’il lui arrive, le récit le fait renaître avec une vigueur nouvelle.

*azel En hébreu, "Ora" signifie "lumière"

Ora, la quarantaine, décide de fuir sa maison afin qu'il ne soit pas possible de la joindre pour lui apprendre une mauvaise nouvelle, seule solution pour garder son fils en vie... Elle part en Galilée avec l'ami d'enfance, le confident, l'amant Avram.

Ilan, le mari parti récemment, 
Adam, son premier fils, parti rejoindre son père Ilan, 
Ofer, le second fils, de retour du service militaire, il doit partir en randonnée avec sa mère en Galilée, mais la guerre du Liban vient de commencer et Ofer se porte volontaire pour une "opération d’envergure" de vingt-huit jours dans les Territoires.
Avram, l'homme détruit par sa captivité et la torture dans les geôles égyptiennes pendant la guerre de Kippour. 

Tout au long de ce périple Ora va raconter Ofer à Avram, lui faire découvrir ce fils qu'il n'a pas eu la force de connaître, mais aussi sa vie avec Ilan et Adam... et c'est l'histoire d'Israël de1967 à nos jours qu'elle fait défiler... l’angoisse d'une femme de 40 ans souffrant de la perte de l’être aimé et la peur de l’oubli, de sa mémoire... et pour cela, elle écrit et elle raconte.
 excellent - Un très beau roman, sobre et poignant, surtout lorsque l'on sait qu'il a été écrit par un homme venant de perdre son fils dans des conditions assez proches.- http://mazel-annie.blogspot.com/2011/10/challenge-litterature-juive-david.html

Assaf, jeune adolescent de seize ans, obtient un job d'été à la mairie de Jérusalem : on lui confie la tâche de retrouver le propriétaire d’un chien égaré. C’est au bout d’une laisse tirée par cet animal qui renifle des pistes qu’Assaf sera entraîné dans une aventure initiatique dont Tamar, une autre adolescente, est la figure centrale. Autour de cette jeune fille mystérieusement disparue, gravitent une nonne grecque enfermée depuis cinquante ans dans un monastère, une patronne de restaurant chic, le directeur mafieux d’un centre pour jeunes drogués, et la ville de Jérusalem dont les dédales abritent des adolescents à la dérive, de redoutables dealers, un imprésario tyrannique. Sous les apparences d’un roman pour la jeunesse, David Grossman brouille les pistes et nous offre un roman d’apprentissage qui tient du récit chevaleresque et du conte de fées. Assaf et Tamar alias Tamino et Pamina, nous entraînent dans leur sillage jusqu’à la dernière ligne de cette aventure menée à un rythme endiablé pour le plus grand plaisir du conteur et de son auditoire. 

azel -  souvenir de lecture, le premier que j'ai lu de l'auteur.



En février 1943, le nom de « Stalingrad » est sur toutes les lèvres et va devenir le symbole de la défaite allemande. Correspondant de L’Etoile rouge, Vassili Grossman assiste aux combats, dont il rend compte dans ses chroniques. C’est à ce moment-là qu’il entreprend sa fresque monumentale, Pour une juste cause, dont la seconde partie sera connue dans le monde entier sous le titre de Vie et destin. Grossman est alors un homme ébranlé par la guerre. Son fils aîné a été tué au front, sa mère a péri dans un ghetto… Terminé après la guerre, Pour une juste cause est publié, entre juillet et octobre 1952, dans la revue Novy Mir. Épopée d’une bataille emblématique, c’est un vivant portrait du peuple russe saisi dans sa souffrance et dans sa grandeur. Mais, derrière cette mosaïque de destins, ces affrontements sans merci, ces sacrifices héroïques, nous voyons déjà se profiler les questions vertigineuses de Vie et destin sur les totalitarismes de notre temps.

Momik, fils unique de rescapés des camps de la mort, grandit à Jérusalem dans une famille traumatisée mais qui refuse d'évoquer le passé. Plus tard, devenu adulte, il va tenter de comprendre et d'accepter l'Holocauste. Un roman qui tente de raconter l'inacceptable.


Amnon “Nono” Fayerberg est le fils d’un talentueux commissaire de police de Jerusalem. Il n’a pas connu sa mère, Zohara, morte peu après sa naissance. Une semaine avant son treizième anniversaire et sa bar mitzvah (qui dans la tradition juive signifie pour un garçon l’entrée dans le monde des adultes), Nono monte dans le train à destination de Haïfa pour rendre visite à son oncle, mais à peine a-t-il mis le pied dans son compartiment qu’il fait la rencontre du mystérieux et séduisant Félix, gentleman cambrioleur international. Et le voyage se transforme en un périple fantastique et tumultueux de trois jours où Félix lui servira de mentor.
Qui est Félix Glick ? Comment est-il si bien renseigné sur la vie de Nono et celle de ses parents — notamment sa mère Zohara ? Pourquoi nourrit-il une telle haine à l’égard de son père ? Dans quel but secret l’embarque t-il dans cette course folle à travers le pays ?
Peu à peu Nono découvre à travers une série d’indices révélateurs, que Félix et Lola, une célèbre actrice, sont ses grands-parents maternels ; sa mère Zohara était une criminelle farouche et fantasque et l’unique amour de son père qu’elle avait sauvé de la noyade dans une cuve de chocolat. Félix, avec la connivence de Lola, a enlevé Nono pour lui révéler la part de lui-même qui lui vient de sa mère, le rêve, la fantaisie.
Au terme de ce véritable voyage initiatique, l’enfant aura obtenu la réponse à sa question essentielle “Qui suis-je ?”, retrouvé ses racines (maternelles), découvert sa personnalité complexe et véritable (le goût de l’ordre et le besoin de le transgresser) et vu son vœu le plus cher exaucé : le mariage de son père et de Gaby, sa seconde mère.
Il sera devenu un homme.
L’Enfant zigzag est tout simplement un livre superbe et magique. Il pétille d’invention. L’action trépidante, pleine de rebondissements emprunte au thriller. C’est un de ces grands livres qui restitue à merveille le monde de l’enfance pour les adultes.
Quand Nono, 13 ans, fils d'un commissaire de police de Jérusalem, monte dans le train de Haïfa pour voir son oncle, il ne se doute pas qu'il n'arrivera pas à destination et que le voyage se transformera très vite en un périple rocambolesque où le mystérieux Félix rencontré dans le train (par hasard ?) va lui servir de mentor et lui révéler sa véritable personnalité.
" La missive, posée sur la table, annonçait ce qui suit : "Espèce de misérable voleur ! Si vous ne m'avez pas rendu sa bouche avant dix-neuf heures, je viendrai la chercher, et je vous préviens que rien ne m'arrêtera." Dans la marge, au bas de la feuille, il avait ajouté une phrase sinistre à l'encre rouge : "Je défendrai mon honneur dans le sang." Signé : Rudy Schwartz. "
Ainsi commence une improbable histoire, celle de David, 12 ans, caché sous le lit de la maison de retraite de Beit Hakerem, où il attend l'arrivée de la " terreur de la faculté de médecine d'Heidelberg ". Ou comment un jeune homme vivant à Jérusalem dans les années 60 se retrouve mêlé à une querelle d'un autre temps - duel au pistolet dont l'issue sera sans nul doute fatale - et fera tout son possible pour élucider le mystère de la bouche d'Édith et sauver la vie de son ami septuagénaire, M. Rosenthal. Un roman atypique où se mêlent amour, amitié, honneur et trahison...
1967, Beit-haKerem, un quartier populaire de Jérusalem. L'Histoire et les canons de la guerre des Six-Jours résonnent au loin mais Aharon Kleinfeld ne les entend déjà plus. Second enfant solitaire d'une famille de réfugiés juive-polonaise, cet adolescent de quatorze ans qui vient de fêter sa bar mitzvah vit replié sur lui-même, protégé du monde extérieur qu’il juge menaçant.Pendant deux ans, entre 1965 à 1967 et en marge des péripéties de l'Histoire, entre sa douzième et sa quatorzième année, Aharon écoute, observe la réalité quotidienne de son environnement où il ne voit que laideur, violence, mort, et se débat avec les pulsions de sa sexualité juvénile si envahissante. Il se refuse alors à grandir, rejette l’idée de vivre selon la « grammaire » que dictent aux hommes les choses de la vie, et se réfugie dans sa « grammaire intérieure » qu'il forge pour vivre son histoire, son « présent continu » qui l'éloigne chaque jour un peu plus du monde adulte.Un roman surprenant et émouvant, adapté à l’écran par Nir Bergman sous le titre La Grammaire intérieure, Grand Prix du Festival du film de Tokyo en 2010.
Le Sourire de l’agneau est le premier roman de David Grossman. Il nous relate l’histoire d’Ouri, jeune soldat israélien idéaliste stationné dans un village arabe de Cisjordanie, et de Shosh, sa compagne, employée dans une institution psychiatrique pour enfants. Déçu, amer, désespéré par la réalité du monde qui l’entoure, Ouri devient étranger à tout ce en quoi il a cru auparavant. Tandis que Shosh le trompe avec son ami Katzman, le cynique, le défenseur des mensonges, il se réfugie auprès de Hilmi, vieux conteur arabe fantasque, et dans son monde fabuleux de légendes.
Le Sourire de l’agnea u, c’est l’histoire du mensonge et de la fiction, de la manière dont le mensonge envahit la vie d’un être sincère. C’est l’histoire du peuple juif, champion de la justice et de la morale, qui en Israël érode ses propres valeurs en opprimant un autre peuple.
Ce livre marque un jalon important dans la littérature israélienne, d’abord parce qu’il traite du thème de l’occupation jusqu’alors soigneusement éludé, mais surtout parce qu’il révèle le don exceptionnel propre à Grossman pour évoquer sentiments, situations, paysages, odeurs et couleurs.
Une jeune femme rend visite à sa mère, en fin de vie, pour lui lire une histoire : un épisode ancien vécu par la fille comme une trahison, lorsque la mère, professeur de yoga, avait par une initiation intense révélé à un adolescent refoulé sa vraie nature. Par le biais de la confession-fiction, les deux femmes engagent le dialogue et se réconcilient après des années d'incompréhension, acceptant la maladie de l'une, l'homosexualité de l'autre. Dans une voiture qui roule la nuit vers une destination inconnue, un homme confesse son interminable tourment à la conductrice, sa belle-sœur. Il veut aller surprendre sa femme qu'il soupçonne d'avoir un amant depuis longtemps. Mais ce qu'il imagine du couple adultère est d'une telle précision que, peu à peu, le doute s'insinue dans l'esprit du lecteur. Qui trompe qui ? Qui mène une double vie ? L'homme ou la femme ? Dans ces deux superbes récits à huis clos où imaginaire et réalité se confondent, la plume fébrile, obsédante de David Grossman explore ici les méandres obscurs et vertigineux de la jalousie conjugale, là les rapports conflictuels entre mère et fille.
Dans ce recueil, David Grossman livre sa vision personnelle de la société israélienne et balaye nombre d'idées reçues. A travers la question centrale de l'identité, l'auteur analyse ce qui constitue le quotidien d'Israël: la permanence d'un conflit qui mène à l'impasse, la vie sous la menace constante de l'anéantissement, le pessimisme face à l'avenir, l'aveuglement qui empêche d'accepter l'Autre. Israël pourra-t-il enfin s'ancrer dans l'espace ou restera-t-il à jamais un peuple universel, immatériel, diabolisé par le reste du monde? Dans ce contexte violent et cruel, l'écriture est le seul espace de liberté permettant de se mettre dans la peau de l'Autre, de "l'ennemi ", dans une union pour accéder enfin à la réconciliation et à la paix. Personnels, touchants de sincérité, d'humanité et de réalisme quant à la situation israélienne, ces textes témoignent d'une force de vie extraordinaire.
Il y a deux sortes de Palestiniens. Les premiers occupent le devant de la scène depuis le début de l'Intifada. Les seconds ont beau représenter 18% de la population israélienne, ce sont des oubliés de l'histoire. En hébreu, on appelle «Arabes d'Israël» ces Palestiniens restés sur le sol israélien après l'indépendance de 1948. Les Palestiniens, eux, préfèrent les désigner avec mépris comme «les Arabes qui s'engraissent». En enquêtant auprès de ces «exilés de la Terre promise», David Grossman, dont l'?uvre s'est imposée depuis dix ans comme l'une des plus intéressantes de la littérature israélienne, donne un pendant très exact au Vent jaune, son fameux reportage sur les territoires occupés. Face à ces Arabes tiraillés entre leur citoyenneté israélienne et leur appartenance au peuple palestinien, comme cette jeune fille qui avoue honteusement «si j'étais juive dans ce pays, quel plaisir j'aurais!», l'écrivain se contente d'écouter. Car pour Grossman, laisser s'exprimer cette société arabe silencieuse, c'est déjà lui «faire une place». Autant l'avouer, le contraste entre ce superbe ouvrage et Le sourire de l'agneau, premier roman de David Grossman, publiés simultanément par Le Seuil, est d'importance. Car, malgré ses évidentes bonnes intentions, ce livre, qui traite du problème de l'occupation israélienne, ne réussit pas à dépasser un schématisme quelque peu réducteur. Sans doute parce que David Grossman est un écrivain engagé avant d'être un écrivain. Mais comment le lui reprocher? http://www.lexpress.fr/culture/livre/les-exiles-de-la-terre-promise-le-sourire-de-l-agneau_799478.html
Ce reportage décrit les souffrances des Palestiniens en Cisjordanie alors occupée par l'armée israélienne. Il révèle un essayiste politiquement engagée pour la paix.

2 commentaires:

  1. Et bien tu ne crains pas ta peine ! Cela doit représenter beaucoup de boulot tout ça. Je débarque mais je visiterai plus longtemps dans quelques jours.

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  2. bonjour Nathalie,
    Un peu de boulot, mais j'aime bien et pas vraiment d'autre activité.
    En fait, je suis en train de reprendre tous les articles du challenge littérature juive pour les remettre dans ce blog. Sur le blog principal, ils sont noyés dans la masse.
    Je pense avoir terminé pour début janvier.
    bisous

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